La police de Montréal (SPVM) veillera à ce que tous ses officiers de patrouille suivent, au cours des trois prochaines années, un cours d’une journée qui les aidera à prendre en charge des personnes souffrant de problèmes de santé mentale ou en crise.
L’annonce faite mardi lors de l’audience du comité de sécurité publique de la ville n’a pas satisfait les activistes et les travailleurs communautaires, qui se sont plaints du fait qu’une formation d’une journée ne suffit pas.
La ville de Toronto exige que ses agents de police suivent un cours de trois jours comprenant, la désescalade, le dialogue et la rétention.